mardi 13 décembre 2011

Atelier "Science et français!"

Mon amie Isabelle m'a invitée à présenter un atelier au colloque "Ta vie, ta culture, ton français" aujourd'hui à l'école secondaire Cap-Jeunesse à St-Jérôme. C'est ma première expérience de présentation à des jeunes du secondaire et j'ai bien hâte! Ça me rappelle de bons souvenirs de mon secondaire à moi, qui fut globalement une belle expérience. Par contre, ça fait longtemps, c'était bien avant l'internet et on n'imaginait même pas encore les réseaux sans fil et les tablettes! J'ai décidé de faire comme Isabelle, qui intègre ces technologies à ses cours de français, et j'ai préparé un petit exercice pour les élèves. Vous êtes sur Twitter? Suivez notre exercice de rédaction scientifique concise cet après-midi! Twitter nous limite à 140 caractères; c'est peu, mais dans certaines demandes de subventions ou de bourses, les scientifiques doivent parfois être presque aussi concis, ce qui nécessite une bonne maîtrise du français pour demeurer clair. Pour cet exercice, les élèves de secondaire 1 nous parleront des volcans (#fransci1) et ceux de secondaire 2, des roches (#fransci2), notions abordées récemment dans leurs cours de sciences. Le meilleur tweet de chaque niveau se méritera un petit prix!

J'ai beaucoup négligé mes blogues cet automne pour des raisons familiales et ce blogue-ci n'est pas aussi scientifique que je ne le souhaiterais, mais c'est quand même cette adresse que j'ai donné aux élèves pour recevoir leurs commentaires sur mon atelier. Avec l'Écolo gonflable, je souhaite partager mes connaissances en environnement. Mes billets s'inspirent grandement de ce qui survient chez moi au quotidien et j'utilise un niveau de langue plutôt familier; c'est typique d'un blogue! J'y glisse toutefois des connaissances vulgarisées quand l'occasion s'y prête. Comme quoi le français et la science vont ensemble partout, pas seulement à l'école ou au travail!

1 commentaire:

  1. Merci encore de ta visite, Lucie. Je suis certaine que cette "trace" que tu laisses dans le parcours scolaire de ces 65 élèves peut avoir un impact.

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